L’enseigne de jeux vidéo Game joue sa survie pendant les soldes

Pour le lancement des soldes, l’enseigne Game France, spécialisée dans le jeu vidéo, brade l’intégralité de ses magasins. Placée en redressement judiciaire, elle doit proposer au tribunal de Bobigny un plan de reprise le 25 janvier. Ses dirigeants ne s’avouent pas vaincus et entendent trouver une offre qui permettra de sauver un maximum de salariés.

Des soldes aux allures de déstockage avant fermeture.

 

 

 

 

 

 

30 % de remise sur les consoles neuves. 60 % sur les consoles d’occasion. 60 % sur l’ensemble des jeux neufs. Pour l’ouverture des soldes, les magasins Game proposent des réductions qui défient toute concurrence. L’information a fuité mardi 8 janvier au soir sur Internet. Séparé depuis mars 2012 de sa maison mère anglaise qui connaissait de graves difficultés, Game France est désormais autonome. L’entreprise, qui compte 557 salariés pour 157 magasins, a été mise en redressement judiciaire en septembre. Placée sous le coup d’un plan de continuation et de recherche de repreneur, elle a déjà dû fermer 35 magasins non rentables.

Dès l’ouverture ce mercredi matin, au Game de la rue d’Amsterdam, à côté de la gare Saint-Lazare à Paris, c’est le branle-bas de combat. De nombreux joueurs se massent devant les caisses du plus grand magasin français de la firme pour profiter de l’offre. A 11 heures, les trois vendeurs sont dépassés. De nouveaux clients entrent chaque minute pour moissonner les rayons. Il devront se contenter des jeux. Les consoles ont presque toutes été vendues.

Plus de réservations ni de rachats d’occasions

Dans la file d’attente, Tony, 26 ans, et Paul, 31 ans, fréquentent la boutique depuis qu’ils sont tout petits, à l’époque où elle s’étendait sur trois étages (maintenant, tous les produits sont installés au rez-de-chaussée). Pour ces deux clients, Game « a fait de mauvais choix ». « Le site Internet est une galère, je n’ai jamais rien acheté dessus », déplore Tony. « Ils n’ont pas su s’adapter au marché du net, renchérit Paul. Ce qui se passe aujourd’hui, on s’en doutait. » 

Une fermeture définitive se profilerait-elle ? Pour eux, c’est certain. Ils s’expliquent : « Ils ne réservent plus les jeux à paraître, le site n’est plus mis à jour, ils ne rachètent plus les jeux d’occasion. » Ces deux joueurs s’avouent « tristes pour le côté nostalgique et emmerdés pour les employés qui risquent de se retrouver au chômage. »

« On se battra jusqu’au bout »

Au siège, on refuse de dire que la partie est terminée. Julien Trosdorf, porte-parole de Game France, assure que cette braderie est une opération de solde agressive mais nécessaire. « Tout le monde doit pratiquer immédiatement des démarques importantes dès les premiers jours, commente-t-il. Tout se joue d’aujourd’hui à la fin de la semaine. » Il rappelle la difficulté des distributeurs de biens culturels face au marché dématérialisé et évoque les cas de Surcouf, qui a disparu l’an dernier, et de Virgin, qui a définitivement déposé le bilan mercredi 8 janvier. Le secteur du jeu vidéo est particulièrement atteint. « En 2011, les ventes physiques représentaient 41 % du marché, explique-t-il. D’ici à 2016, ce chiffre sera divisé par deux. » Il donne les chiffres de la filiale. « En 2010, nous avons perdu 2,3 millions d’euros. En 2011, 4,5 millions. On s’attend à pire pour l’exercice 2012. » 

Le porte-parole assure que son entreprise a trouvé plusieurs partenaires pour la reprise. Dans les rangs, le concurrent Micromania (400 boutiques, 1 400 employés). Certains sites évoquent une offre de un million d’euros pour 40 magasins. Une rumeur que ni Game France ni Micromania n’ont souhaité confirmer ou commenter.

« Du directeur général au stagiaire en magasin à Perpignan, nous avons tous traversé des moments d’incertitude et de profonde inquiétude, confie Julien Trosdorf. Mais on se bat et on se battra jusqu’au bout, jusqu’au tribunal. La plupart des offres que nous avons reçues ne sont pas uniquement foncières. » Il se déclare« raisonnablement optimiste ». Le comité d’entreprise se réunira lundi. Dans la foulée, les salariés seront informés des décisions prises. Une audience aura lieu au tribunal de Bobigny le 25 janvier. Les juges rendront leur verdict quelques jours plus tard. Les salariés de Game France en sauront alors plus sur leur sort.

Une console portable et trois jeux à un prix dérisoire.

 

 

 

 

 

Jean Morizot

50 commentaires sur “L’enseigne de jeux vidéo Game joue sa survie pendant les soldes

  1. C’est fou toutes ces boîtes qui se retrouvent au pied du mur après avoir manqué le virage de la dématérialisation (boutiques, relation client et surtout vente en ligne).
    Toute le monde regrette cette situation pour les salariés, mais peu de monde semble remettre en cause le management qui a conduit ces entreprises dans le mur.

    Malheureusement pour ces cas récents (Surcouf, Virgin, …) il est difficile de se réfugier derrière la bonne excuse du piratage comme peuvent le faire les majors et l’industrie cinématographique…

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    1. En quoi le management serait-il responsable?
      On ne peut pas parler d’avoir louper le virage numérique: la réalité est différente: le numérique ne nécessite pas autant de personnel: il suffit d’apprendre à réfléchir 2s pour s’en rendre compte; et le rapport n’est même pas du tout commun.

      La 1ère responsabilité ce sont les clients qui la portent; exactement comme pour la délocalisation de nombreuses usines d’ailleurs…

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      1. Tout le monde souffre, mais certaines enseignes continuent de faire du chiffre.
        Tout dépend vraiment de la stratégie qu’adoptent les groupes. La diversification des offres semble aujourd’hui inévitable, en plus d’une grande présence sur le marché Internet. Par exemple Micromania – douze ouvertures de boutiques l’an dernier – reprend les iphones, et la FNAC fait de l’électroménager.

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      2. Les clients, responsables ? Parce qu’on est sensés aider maintenant ?
        Non. On achète quand ça vaut le coup. Si c’est de la merde, j’achète pas.
        C’est pas le numérique le problème. C’est les prix, et le foutage de gueule permanent de ces entreprises.

        Game n’en a rien a foutre de ses clients. Cette situation lui pendait au nez depuis longtemps.
        De toutes façons, on s’en fout, c’est comme l’industrie du disque, ce sont des parasites, maintenant avec l’avènement des jeux indés ont peut payer directement le studio, ou des partenaires qui font un transfert équitable.

        J’ai de la peine pour les employés. Mais la chaine était vouée a disparaitre, et c’est tant mieux.

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      3. Elle est bien bonne celle-là : « le numérique ne nécessite pas autant de personnel ».
        Sisi, il nécessite quasi autant de personnel le numérique, mais juste du personnel différent, car les compétences nécessaires ne sont pas les mêmes. Allez demander à un vendeur de vous coder une page de login, vous allez bien rigoler.

        Le management a bien raté son virage : ils n’ont pas su recruter et mettre en place les nouveaux services nécessaires au numérique, et reclasser/former les employés qui ne collaient plus au profil obsolète.

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      4. @Mme Smith: Vous écrivez: « Elle est bien bonne celle-là (…) Sisi, il nécessite quasi autant de personnel le numérique, mais juste du personnel différent »

        Vous planez complètement, le numérique nécessite beaucoup moins de personnel. Du personnel différent et en beaucoup plus petites quantités, puisque les problèmes de productions des supports physiques, stockage, distribution, stockage de nouveau, présentation en boutique, conseil, encaissement des achats, sont tous soit supprimés soit très grandement facilités. Atterrissez.

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      5. @Tom : ayant le vertige, permettez-moi de ne pas décollez, ce sera mieux.
        Et étant dans le domaine, voici comment ça fonctionne : si un site lambda a besoin d’un développeur web et d’un DBA en plus d’un chargé fonctionnel, alors les règles de management créerons cette situation dans une boite de la taille de virgin :
        3 développeurs, 3 DBAs, un manager pour chaque, un respo comm entre l’équipe de dev et les DBAs, un respo comm entre la MOA et l’équipe de DEV.
        Ladite MOA comportant non plus un fonctionnel mais un manager d’animateurs web qui seront chargés d’inventer des lubies que le manager n’arrivant pas à fusionner enverra à un respo de synthèse qui jouera à la loterie avec ces demandes.
        Car nous ne sommes pas dans le cadre d’un modèle anglo-saxon, mais dans un modèle dinosaurien à la française.
        Et tenez, n’oubliez pas vos lunettes.

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      6. @Samuel : Vous avez raison, retournons à l’époque où 100 % des gens avaient un boulot avec chacun son jardin, sa pelle et sa truelle pour faire pousser ses légumes et ses fruits. Et pour les plus influents d’entre nous, des boeufs pour labourer les champs.

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  2. C’est pas pour casser votre joie de faire de bonnes affaires mais sur votre ticket de caisse il est indiqué un prix de 52,80€ pour la PSP 3000 d’occasion. Avec les 60% de réduction cela voudrait dire que le prix affiché pour votre modèle était de 132€

    Sauf que cette console vaut 130€ neuve. Donc heureusement pour vous vous avez profité d’une importante ristourne mais sans celle-ci jamais personne n’aurait acheté cette console. Je vous laisse méditer sur les raisons de l’échec.

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    1. Le prix de base était 99 euros. La démarque à 60 % sur toute l’occaz n’était pas totalement activée, le vendeur se posait des questions. Le programme calculait ses ristournes de manière un peu aléatoire.
      Je me suis dit qu’à 50 euros, ça valait tout de même le coup.

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      1. Et alors chez game on pratique des tarifs au pif ? Et le journaliste de laisser passer ça sans rien dire et de venir exhiber son ticket de caisse fantaisiste sans mentionner le moindre mot de l’histoire.

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      2. C’est quand même pas compliqué de calculer 40% de 100€, déjà que les vendeurs de Game n’ont aucune passion pour les jeux vidéo, on doit donc rajouter qu’ils n’ont aucune notion en ce qui concerne les mathématiques.

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      3. ce n est pas du tout le vendeur qui est en cause, c’est la personne qui s occupe au siégé qui calcul ces prix et qui sont envoyés direct dans les caisses
        Et pour ce qui est des vendeurs ils ne peuvent pas intervenir sur les prix et pour ce qui est de leur culture videoludique il ne sont pas tous comme cela
        Pour faire une telle généralité tu dois toi aussi GROS culture videoludique ou une grande méconnaissance du métier

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      4. Bah ce jour là effectivement les tarifs sur l’occaz semblaient parfois un peu aléatoire. Les vendeurs étaient complètement dépassés. On peut imaginer que la base aussi.
        Sur tout le neuf et tous les jeux la démarque de -30 et de -60 était appliquée.
        Si j’ai exhibé mon ticket de caisse c’était pour montrer que les réductions étaient immenses. La prochaine fois j’achèterai 5 ps3 pour que ce soit plus flagrant.

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      5. Mais les clients n’ont pas envie d’être les pigeons d’une boutique qui ne sait même pas compter, sur Steam quand une réduction est promise elle est appliquée.

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      6. Cher superpatate, vous trouvez que payer 50 euros au lieu de 100, c’est être le « pigeon » d’une entreprise qui fait ce qu’elle peut pour sauver ce qui lui reste de salariés ?

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      7. Vous avez bien fait, une 3000 en bon état à ce prix reste une affaire très honorable, elle n’est pas forcément super trouvable. Le problème, ça va être de trouver les jeux qui vont avec derrière… Plus rien ne sort en France depuis septembre / octobre 2011, alors que des jeux doivent encore sortir dans le 1er semestre de cette année au Japon… Et ce qui reste dans les bacs des grands distributeurs aujourd’hui n’est pas forcément folichon.

        Toutes ces mauvaises nouvelles me donnent de drôles de sensations. Ca sent même plus la crise, ça sent l’écroulement. Virgin, Game, play.com…. Quelle ambiance pourrie quand même.

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      8. Dr Wond – >

        Ah? question de point de vue… Moi, je danse de joie !
        Mort aux parasites, maintenant les suivants vont comprendre ce que ça rapporte de prendre ses clients pour des vaches a lait…

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  3. pourquoi le stagiaire à perpignan , on est en bas de l’échelle c’est ça ? xD . Sinon c’était prévisible amazon rafle tout par leur rapidité , choix et prix inférieur , that’s life.

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  4. Le JV est par essence dématérialisé. A part quelques jeux qui ont une forte valeur sentimentales et où les éditeurs font une boite et notice qui valent de coup (Blizzard est très fort là dedans), l’intérêt de la boite physique est limité maintenant que les plateformes de téléchargement sont de bonne qualité …

    Steam va continuer de monter, avec tout son écosystème de revendeurs de clé-CD. Et pour les éditions collector, l’e-commerce prend la relève …

    Bref, on peut se lamenter sur la faillite d’une entreprise, c’est toujours triste. Mais ici, ce n’est pas le secteur qui va mal : l’industrie du jeu vidéo vit sa vie (avec ses évolutions, free to play, mobile, …).
    Il ne s’agit que d’un problème de distributeurs, contrairement à l’industrie musicale où c’est tout le modèle économique qui est remis en question.

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  5. L’interet du support physique dans les jeux vidéos… c’est de pouvoir le revendre en occasion ou juste de le passer à un pote…

    Ce qu’on ne peut pas faire en dématérialisé.
    Sur PC, il y a un compromis avec Steam qui propose des prix en dessous du prix matérialisé(10€ de moins minimum) et fait souvent des promo et soldes.
    Ce qui n’est pas du tout le cas sur les supports PS3/XBOX/WII où le prix dématérialisé est le même que celui physique (à 2 ou 3 € près)!

    Ce qui fait que le dématérialisé n’est pas prêt pour le monde des consoles…
    Ce qui fait que Game est une grosse perte vis à vis des gamers…
    En achetant et revendant mes jeux au fil des sorties, je m’en sortais pour 30/35 € par nouveau jeu (au lieu des 70 …)
    Maintenant, il ne reste plus que micromania et des vieux cashconverter sur le marché, jusqu’à la prochaine execution.

    Enfin, ce qui me tue, c’est que pour virginmegastore, ce soit une affaire d’état…
    Alors que là, les employés se font sortir gentillement en douce sans que personne ne s’en rende compte…

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    1. Ce qui compte ce n’est pas le fait de mettre au chômage ou même le nombre de licenciés, c’est la notoriété ou le domaine de l’entreprise en question. Games reste une boite spécialisée, alors que le Virgin des Champs a un poids considérables dans l’inconscient collectif. Tout comme on donnera plus volontiers le micro à un ouvrier de Mittal qu’à un jeune employé de bureau qui vient de perdre son job.

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      1. Et c’est pas faux , les indies débarquent de plus en plus mais la majorité des jeux c’est du mainstream et si graphiquement ça évolue bah dans le fond on tourne pas mal en rond .
        A part quelque rare jeux on peut pas appeler ça de l’art , pas encore .

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  6. Le tout numérique n’est pas mauvais.
    Et surtout pas pourvoyeur de chômage comme on voudrait le faire croire.

    Il est avant tout question d’un transfert de compétence : au lieu d’avoir des commerciaux répartis sur plusieurs boutiques, il y a dorénavant du personnel responsable de la logistique dans des entrepôts.
    C’est sur, le boulot n’est plus tout à fait le même, mais il a le mérite d’exister et nécessite tout autant de personnel.
    Il faut savoir s’adapter et la clientèle est prête. C’est au tour des employés de suivre le mouvement. Le temps de l’emploi à vie est révolu depuis longtemps.
    Du moment que le personnel est conservé, je ne vois pas de problème.

    Quant aux tarifs des jeux AAA, c’est un peu l’arnaque.
    Pour info : un jeu vendu 50€ en boîte rapporte autant aux développeurs que lorsqu’il est vendu 20€ en version numérique. Mais vous ne le trouverez pas à ce tarif-là en numérique.
    La cohabitation entre ces deux supports tourne largement à l’avantage des distributeurs.

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  7. Game doit avoir des prix assez élevés tout comme micromania. Il existe une côte sur les jeux d’occasions (même plusieurs plus ou moins similaires), les magasins autres que ces chaines, pratiquant correctement l’échange, donc notamment les indépendants, pour les clients cela vaut bien plus le coup qu’amazone qui a un service de reprise en ligne en avoir, reprise ridicule. Mais il est vrai que la grande mode est internet…et les moutons suivent le berger, ici les médias sans doute sponsorisé par ces multinationale comme amazone….Bref malgré tout le client aime se faire tondre. Comme ceux qui croient que Leclerc défend le pouvoir d’achat… encore faudrait il commencer par ne pas exploiter ses employés, enfin je m’écarte, mais ces enseignes bouffent merde font aussi du jeu, car jamais assez d’argent…Bref ce qu’il faudrait c’est comme les livres faire une loi pour le respect des prix…Plus les prix baisserons, plus les salaires vont baisser et l’emploi se faire rare quelque soit le secteur par ailleurs…en conséquence les personnes s’en réjouissant n’ont rien compris…les salaires ce sont des charges compressibles permettant la baisse des prix et évitant de perdre trop sur la marge : le quart monde très riches très pauvres c’est ce modèle.
    Pour info, les magasins de jeu ne s’en mettent pas plein les poches le prochain devil m cry xbox360 ou ps3 est acheté 41,05 € en moyenne hors tva…je vous laisse calculer la marge sur ce jeu vendu 60 €….bien sur vous allez pouvoir le trouver moins chers chez certains car il existe des marges arrières comme dans la grande distribution bien qu’interdit…ceci au détriment des emplois…juste enrichir en définitif ceux du haut de la pyramide avec la bénédiction de l’état complice.

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  8. Je suis plus embêté pour les employés, surtout ceux qui travaillent dans le magasin de ma région (2A) qui sont très sympa,c’est vraiment dommage que cette chaîne ferme.

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  9. Bonjour , une arnaque totale pour les clients lors de la période de Noel 2012 .
    Nous avons fait des bons d’ achat de 40Euros aux neveux et nièces , ceus-ci
    attendaient divers jeux en sortie Nationale ce 28 janvier , donc n’ étaient pas au courant de la fermeture des magasins GAME !!!! quel fut la surprise hier 29 janvier de se casser le nez sur la vitrine , et voir placardé une note de fermeture des magasins . Ce qui est inadmissible et arnaque / vol , c’ est que les salariés étaient au courant de la chose et qu’ ils ont stipulé que les bons étaient valables 1 an !!!!!!
    quel déception pour beaucoup d’ enfants dans des cas similaires !!!! que faire ?

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    1. Bonjour,

      Avant de traiter les vendeurs de voleurs/arnaqueurs sachez qu’ils ont été préenus en dernier de la liquidation de l’entreprise. De plus puisque vous aviez « le nez collé sur la vitrine du magasin » un message stipule que pour toute réclamation vous pouvez adresser par courrier votre demande, les bons d’achats sont remboursé .

      Pour en revenir aux vendeurs, pour votre information, ils ont eu les infos au compte goutte, ils ont du gérer un flux clientèle qui les ont obligé à rester en caisse du matin au soir durant plus de 10 jours, sans soutient de la part de leur direction, sans communication.

      Mon chère, sachez que beaucoup de gens se retrouvent au chomage courant février, ceratins sont dans des situations de précarité extreme, les vendeurs 20h à 600 euros/net/mois.

      Les premières victimes sont les salariés qui vont pointer à pole emploi, les bons d’achats sont remboursés, alors ayez un peu de décence et de respect pour ces personnes.

      Malgrès les anneries que vous avez postées, je ne vous souhaite pas de vous retrouvé au chomage ou à la rue comme certains vous l’etre,

      Je parle e connaissance de cause, je fais parti des salariés Game qui perdent leur emploi ….

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